1
Le Secteur comme unité de base
du soin de la psychiatrie publique
2
Une territorialité à l’échelle
de la proximité
d’accès aux soins
3
Un budget spécifique pour
la psychiatrie protégé
4
La nomination spécifique des praticiens
par une autorité
indépendante des directeurs
5
Une intersyndicale spécifique à la psychiatrie,
apportant complémentarité
aux autres intersyndicales

1
L’hôpital n’est pas un lieu de rétention.
Liberté dans le soin conservée pour les soignants.
2
Les droits des patients préservés afin
de prévenir les précarités délétères à la santé mentale.
3
Concernant la loi de 2011 et ses modifications de 2013 il faut qu’une évaluation en soit faite pour permettre une évolution dans le sens de la conservation des acquis pour les patients mais également d’une facilitation de l’accès aux différentes formes d’offres de soins et d’un allègement des formalités génératrices de difficultés, sur la forme au dépend du fond, l’accès aux soins pour des patients rendus vulnérables par leur pathologie
4
Liberté d’appariement des établissements
dans le cadre des Groupements
de Coopération Sanitaire
5
Une Loi Santé Mentale non liberticide