Maladie mentale et actes terroristes : la tentation des amalgames ?

Paris, le 05/12/2023

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Nous partageons l’émotion suscitée au sein de la population et nous comprenons les préoccupations face au phénomène de radicalisation à l’origine des actes terroristes.

Face à cette horreur, la tentation est grande de donner à penser que nous pourrions avoir prise sur une part de ses causalités en suggérant que ces actes de violence extrêmes pourraient relever, pour partie, d’une pathologie psychiatrique : un tiers de ces personnes, avance-t-on, présenteraient des troubles psychologiques… Le Ministre de l’intérieur vient d’annoncer le chiffre de 20 %. Mais selon quels critères, quelles études épidémiologiques ? Selon toutes les études internationales, la prévalence des troubles psychiatriques parmi les sujets radicalisés et commettant des actes terroristes est d’environ 5 à 6 %. Selon les données communiquées par l’administration pénitentiaire en 2022, seulement 8 % des personnes incarcérées pour des faits de terrorisme présentent des troubles psychiatriques.

Toutefois certains éléments du discours du Ministre de l’Intérieur nous préoccupent et nous inquiètent : selon ses propos « il y a un ratage manifestement psychiatrique dans le suivi de l’auteur de l’attentat mortel de samedi dernier à Paris … » et il envisage « qu’il faudrait sans doute faire une injonction administrative » pour ces cas.

Pour rappel, les autorités qui suivent les personnes radicalisées disposent depuis des années d’un accès aux dossiers d’hospitalisation sans consentement en psychiatrie et le Représentant de l’État dispose déjà de la possibilité de prononcer une hospitalisation sans son consentement d’une personne pour trouble de l’ordre public.

Ainsi, Monsieur le Ministre, associer les troubles psychiatriques aux actes terroristes est pour le moins hasardeux !

Ce glissement sémantique peut induire implicitement une confusion entre délinquance et maladie mentale, soins psychiatriques, incarcération et injonction administrative et risque d’aggraver la stigmatisation des malades que nous soignons.

Qu’est-ce qui a prévalu chez cet assaillant ? : L’idéologie djihadiste, l’influençabilité de l’auteur ou une pathologie mentale ?

Comme à chaque fois que se produit un grave passage à l’acte de la part d’une personne radicalisée, la Psychiatrie est directement mise en cause et même rendue responsable dans le discours officiel et médiatique.

Comme à chaque fois l’émotion collective appelle à l’impossible anticipation de ces passages à l’acte et à toujours plus de contraintes légales et administratives.

La question du passage à l’acte et des états dangereux fait partie de la clinique psychiatrique et des actions préventives et thérapeutiques des Psychiatres des Établissements Publics qui y sont quotidiennement confrontés et auxquels ils sont constamment attentifs.

Les nouvelles formes de rupture de radicalisation et de violences de masse nécessitent sans aucun doute de larges concertations pluri-professionnelles au sein desquelles pédopsychiatres et psychiatres auront toute leur place, mais rien que leur place, pour poser un diagnostic, évaluer, comprendre, soigner, accompagner et réinsérer.

Rappelons de surcroit que la psychiatrie publique a subi pendant trois décennies des baisses budgétaires majeures la laissant dans un état d’abandon et de grande fragilité, particulièrement concernant la clinique quotidienne des patients les plus difficiles.

Norbert SKURNIK
Président de l’Intersyndicale de la Défense de la Psychiatrie Publique (IDEPP)

Michel TRIANTAFYLLOU
Président du Syndicat des Psychiatres d’Exercice Public (SPEP)

Marie-José CORTÈS
Présidente du Syndicat des Psychiatres des Hôpitaux (SPH)

Charles Olivier PONS
Président de l’Union Syndicale de la Psychiatrie (USP)

Après deux mouvements de grève les représentants de la psychiatrie publique ont pu rencontrer le ministre de la Santé

Après deux mouvements de grève (le 28/06/2022 et le 29/11/2022), une conférence de presse intersyndicale (le 17/10/2022), les représentants de la psychiatrie publique ont pu rencontrer le ministre de la Santé.

Nous lui avons exposé́ en détail les tenants et aboutissants de la grave crise de la psychiatrie publique.

Il nous a pressé d’ouvrir des négociations sur ce sujet et a demandé au président de la commission nationale de psychiatrie, Michel Lejoyeux, une étude sur la charge de travail en psychiatrie publique.

Ces négociations devaient se dérouler en parallèle avec la négociation sur la carrière des praticiens hospitaliers avec l’ensemble des disciplines.

Or, le 12/05/2023, toutes ces négociations ont été interrompues sans raison apparente.

Voyons donc de plus près ce qu’il en est.

Nous consacrons ce numéro de la lettre de l’IDEPP à ce sujet pour informer la profession, fidèles à ce que nous nous sommes toujours engagés à faire.

La rédaction

———

En effet nous avions été avisés le 12 mai 2023 par la DGOS du report sine die des négociations en cours concernant l’attractivité des Praticiens Hospitaliers et des Hospitalo- Universitaires.

Or la situation à l’hôpital public n’a jamais été aussi grave. La profession de praticien hospitalier est devenue un véritable repoussoir. Un grand nombre de collègues de toutes les disciplines et de tous les âges démissionnent de plus en plus. Les jeunes médecins ne veulent plus s’engager dans une profession devenue aussi peu attractive ( environs 3000 candidats seulement se sont présentés au concours national de PH pour un peu plus de 10000 postes vacants)

L’hôpital public s’effondre par pans entiers.

Lors de la journée du 4 juillet 2023, nous exigions la reprise immédiate des négociations avec notamment l’attribution par le ministère de l’Économie et des Finances d’une dotation financière sur les mesures d’attractivité pour les praticiens hospitaliers et hospitalo-universitaires et en particulier :

  • Une augmentation générale de l’ensemble des rémunérations pour tenir compte de l’inflation.
  •  La prise en compte du temps de travail en fin de journée et début de soirée (5ème plage horaire) pour valoriser la continuité des soins et la revalorisation immédiate de la permanence des soins, gardes et astreintes incluses. En effet, ce chantier est toujours en jachère malgré les engagements donnés par le Président de la République lors de ses vœux aux professionnels de santé.
  •  Le raccourcissement significatif de la durée globale de déroulement de la carrière des PH, avec des réductions de la durée des échelons, permettant d’atteindre plus rapidement les derniers échelons de la grille salariale statutaire créés lors des négociations du Ségur de la santé.
  •  La prise en compte, notamment financière, de la charge mentale spécifique et des risques particuliers liés à l’exercice de la psychiatrie publique.

Cette journée d’actions et de grève a amené à une rencontre entre le ministère de la santé et des représentants médicaux hospitaliers, dont un membre de l’IDEPP.

Au cours de cette rencontre notre collègue psychiatre a pu faire part de nos difficultés et soutenir les revendications propres à notre discipline.

En psychiatrie notre profession, à lourde responsabilité humaine, demande une vigilance permanente qui est parasitée au quotidien par des interruptions de tâche et des charges invisibles, mal identifiées et non quantifiées, exposant les soignants à une pénibilité particulièrement importante et non reconnue actuellement par les pouvoirs publics. On peut ainsi mentionner à nouveau la complexification et la multiplication purement procédurale des certificats médicaux exigibles et le risque de mise en cause juridique. Ces stress permanents sont des sources d’erreurs qui peuvent entraîner des conséquences non négligeables sur la santé mentale et physique et sur les comportements des professionnels.

Il existe une dégradation des relations humaines au quotidien, avec les autres professionnels de santé, avec certains patients et familles, et enfin avec la hiérarchie aujourd’hui plus administrative que médicale. On constate aussi actuellement une diminution d’autonomie des praticiens dans leur exercice quotidien et une diminution de leur participation aux décisions : plannings d’organisation de plus en plus contraints pour pallier aux manques de soignants.

Par ailleurs, la responsabilité populationnelle qui caractérise notre pratique renforce d’autant notre charge mentale, soucieux de la situation de certains de nos patients, par exemple lorsqu’ils ne se présentent pas à un de leur rendez-vous .

Face aux caractéristiques propres à notre discipline l’IDEPP demande, en plus de nos revendications mentionnées au début de cette lettre :

  •  L’ Amélioration de l’organisation interne de l’hôpital en permettant aux équipes hospitalières de terrain de décider en autonomie de ce qui les concerne directement (organisation, activité, recrutements, etc.).
  •  La révision de la gouvernance de l’hôpital en renforçant la décision médicale sur le projet médical d’établissement et le projet médical partagé. Le rééquilibrage de la gouvernance doit s’étendre au directoire et au conseil de surveillance.
  •  La mise à disposition sur l’ensemble du territoire du nombre de lits nécessaire pour accueillir les patients, des effectifs de professionnels correspondant aux besoins, de temps d’échanges et de synthèses intégrés dans les plannings.
  •  L’établissement de critères de pénibilité de l’exercice de la psychiatrie publique (notamment l’exposition à l’agressivité voire à la violence, les contraintes et responsabilités juridiques et règlementaires…) et leur reconnaissance en les valorisant financièrement.

Il est indispensable et urgent de repenser, à partir des revendications que nous portons, l’avenir de la psychiatrie publique, afin d’arrêter la spirale infernale mortifère actuelle et d’apporter des solutions concrètes.

Notre journée d’actions et de grève du 4 juillet 2023 a permis d’obtenir la promesse du ministère d’une reprise des négociations début septembre 2003. Nous sommes plus que jamais déterminés et engagés à défendre l’exercice de notre discipline.

Poste de Praticien Hospitalier Pedopsychiatre Savoie

Pour ceux qui aiment la montagne : poste de PH 0,80 sur deux petits cmps enfants et adolescents :0,40 cmp de Bourg Saint Maurice + 0,40 Cmp de Moutiers en lien avec un PH à mi temps. poste attractif , équipe autonome et motivée.
Tel pour renseignements : DR SCHEER 0479605249
mail:C.SCHEER@chs-savoie.fr

Cri d’alarme des professionnels de la psychiatrie sur les « départs massifs » de soignants

PARIS, 28 janvier 2022 (APMnews) – Douze organisations représentant le secteur de la psychiatrie alertent dans un communiqué diffusé jeudi sur les « départs massifs » et « sans précédent » de médecins, et « désormais » de personnels soignants non médicaux, qui obligent les établissements psychiatriques à fermer des lits, voire des unités entières.

« Manifestement, la mesure de l’urgence et de la gravité de la situation de crise que connaît la psychiatrie publique dans notre pays est loin d’être prise en compte », déplorent les 12 organisations (liste ci-dessous).

Depuis plusieurs mois, le monde de la psychiatrie s’inquiète fortement d’une « crise d’attractivité sans précédent », selon les termes de la conférence nationale des présidents de commission médicale d’établissement (CME) de centres hospitaliers spécialisés (CHS) (cf dépêche du 21/06/2021 à 17:47), qui a d’abord touché le personnel médical (cf dépêche du 15/07/2021 à 17:51) puis non médical (cf dépêche du 17/11/2021 à 18:05).

Dans leur communiqué, les 12 organisations, qui alertent à nouveau sur les « départs massifs, et sans précédent de praticiens, même chevronnés » de leurs établissements, « aggravant ainsi une démographie médicale déjà en pénurie », constatent que « les personnels soignants non médicaux ont désormais rejoint ce mouvement de départ ».

Cette situation entraîne la multiplication des « fermetures de lits, voire d’unités entières », « forçant à des restructurations particulièrement délétères pour la prise en charge des patients dans des conditions souvent intolérables », s’inquiètent les organisations.

Dans ce contexte, « le discours du ministre de la santé », au congrès de l’Encéphale le mercredi 19 janvier (cf dépêche du 19/01/2022 à 17:37), « ne peut que laisser extrêmement perplexes les professionnels de la psychiatrie, patients et proches, au regard de la très triste réalité qu’ils vivent au quotidien sur le terrain ».

« Où sont les mesures urgentes et massives de renforcement de l’attractivité tant attendues? », s’interrogent-elles. Si le ministre « dit reconnaître ces difficultés, il n’annonce aucune mesure concrète de nature à améliorer l’attractivité de la discipline mais bien au contraire des ‘actions phares’ centrées sur la santé mentale et reléguant la psychiatrie au magasin des accessoires », continuent-elles.

Pour les organisations, « une fois encore, cet amalgame entretenu entre psychiatrie et santé mentale alimente la perte de sens que vivent actuellement les professionnels de la discipline ».

« Pourquoi dépister et diagnostiquer si au bout du compte les moyens de mise en oeuvre des orientations thérapeutiques nécessaires se révèlent nettement insuffisants voire inexistants? », constatent-elles. « Que penserait-on d’une politique de lutte contre le cancer qui miserait en priorité sur la prévention et abandonnerait dans le même temps les patients et les services d’oncologie à leur sort? », illustrent-elles.

Selon elles, « malgré les crédits de rattrapage alloués, notamment pour le renforcement de la pédopsychiatrie, les projets ne peuvent voir le jour faute de professionnels à recruter », ajoutent-elles.

Elles estiment également que « l’investissement hospitalier en psychiatrie reste très insuffisamment pris en compte » par la commission nationale de la psychiatrie (cf dépêche du 21/01/2021 à 13:50).

Les organisations déplorent que « tout se passe comme si » la « carence en professionnels » et la « dégradation de la qualité et la sécurité des soins » étaient « entérinées ».

Elles ajoutent que cette dégradation ne saurait être compensée par des dispositifs de type infirmiers en pratique avancée (IPA).

« Sans prise en compte de cette perte de sens maintes fois dénoncée par les signataires en termes d’urgence républicaine [cf dépêche du 11/10/2021 à 16:17], la perspective ne peut être que celle d’une aggravation de la situation déjà dramatique à laquelle est confrontée la psychiatrie en France », concluent les organisations.

Liste des représentants d’organisations signataires :

  • Marie Bur, Marc Fedele, Pascale Giravalli, coprésidents de l’Association des secteurs de psychiatrie en milieu pénitentiaire (ASPMP)
  • Marie-José Cortés, présidente du Syndicat des psychiatres des hôpitaux (SPH)
  • Claude Finkelstein, présidente de la Fédération nationale des associations d’usagers en psychiatrie (Fnapsy)
  • Claude Gernez, président de la Fédération française de la psychiatrie (Fédépsychiatrie)
  • Delphine Glachant, présidente de l’Union syndicale de la psychiatrie (USP)
  • Gladys Mondière, présidente de la Fédération française des psychologues et de psychologie (FFPP)
  • Christian Müller, président de la Conférence nationale des présidents de commissions médicales d’établissement (CME) de centres hospitaliers spécialisés (CHS), désormais ancien président (cf APM)
  • Annick Perrin-Niquet, présidente du Comité d’études des formations infirmières et des pratiques en psychiatrie (CEFI-Psy)
  • Marie-Noëlle Petit, présidente de l’Association nationale des psychiatres présidents et vice-présidents de CME des centres hospitaliers (ANPCME)
  • Norbert Skurnik, président de l’Intersyndicale de la défense de la psychiatrie publique (Idepp)
  • Olivier Tellier, président de l’Association française des unités pour malades difficiles (UMD)
  • Michel Triantafyllou, président du Syndicat des psychiatres d’exercice public (Spep)

POSTE DE PH TEMPS PLEIN DANS LE VAR

Je suis à la recherche d’un(e) PRATICIEN HOSPITALIER TEMPS PLEIN EN PSYCHIATRIE ADULTES, disponible à compter de mars 2022.

Il s’agit d’un poste dans le service PSY G02, situé à l’hôpital sainte Musse, faisant parti du centre hospitalier intercommunal Toulon – la Seyne sur mer, support de la GHT du Var.
La fiche de poste se trouve à 50 % sur l’unité ouverte d’hospitalisation temps plein, se trouvant à l’hôpital sainte Musse, à Toulon, et à 50 % sur le CMP en centre-ville de Toulon, au milieu du secteur, ce temps étant souple et aménageable en fonction des désidérata et des possibilités, sachant que le secteur comprend déjà 3 PH temps plein et un mi-temps quasiment exclusivement sur le CMP. Ce qui permet une grande diversité de pratiques et que chacun et chacune puisse s’épanouir professionnellement relativement librement, du moment que la permanence des soins est assurée.
– L’unité d’hospitalisation comprend 24 lits avec 8 chambres seules et 8 chambres doubles tout confort, permettant des hospitalisations à temps plein ou des hospitalisations de nuit, en fonction de l’état clinique des patients et de leur évolution, une chambre d’isolement et une chambre d’apaisement à orientation Snoezelen. L’équipe soignante est solide, jeune et investie, motrice dans les prises en charge institutionnelles et individuelles. Elle comporte en sus des IDE, AS et ASH, 3 psychologues qui interviennent également sur le CMP, 2 assistantes sociales, 1 psychomotricienne à mi-temps, une art-thérapeute à 30 %.
L’unité accueille des patients en hospitalisation libre, mais également sous contrainte en phase compatible avec une unité ouverte, sachant qu’il y a en face de l’unité le service intersectoriel fermé, ce qui permet des passages de l’un à l’autre très facile en cas de nécessité.

Le service est ouvert et intégratif, ce qui permet différents types de prises en charge, allant de la pharmacothérapie à diverses méthodes thérapeutiques : l’unité d’hospitalisation propose aux patients, outre leur prise en charge médicale et pharmacologique, une prise en charge de type psychothérapie institutionnelle autour d’activités à but thérapeutique (cuisine, théâtre, activités artistiques, rédaction d’un journal du service …), de sorties et séjours thérapeutiques sur l’extérieur, de prises en charges à médiation corporelle (théâtre, gym-éveil, relaxation, expression corporelle, yoga…).
Elle propose également des prises en charge spécifiques du psychotraumatisme (hypnothérapie, EMDR). Le service est support de la CUMP du Var, CUMP renforcée basée dans l’unité, avec un mi-temps de psychologue, un mi-temps de secrétaire et un mi-temps de psychiatre, venant encore renforcer l’équipe.

Le centre médico-psychologique accueille les consultations de 6 psychiatres, et se trouve dans le même immeuble que le CATTP et l’hôpital de jour, en centre ville de Toulon. En plus des venues des intervenants sociaux, psychiatriques et psychologiques alternant avec l’unité d’hospitalisation, 2 psychologues y interviennent exclusivement, une à mi-temps pour le psychotraumatisme et l’autre à 20 % à orientation cognitivo-comportementale, ainsi qu’une 3e assistante sociale à mi-temps. Une psychiatre à mi-temps est également experte auprès des tribunaux et des services de tutelle, ce qui facilite largement les démarches sociales.
En espérant avoir pu attirer l’intérêt de certains, sachant que nous sommes déjà suffisamment confortables dans nos pratiques, avec une équipe médicale jeune et solidaire, pour qu’un ou une nouvelle recrue puisse s’intégrer avec ses choix et ses orientations théorico-cliniques facilement.
Pour toute personne intéressée, ne pas hésiter à me contacter pour d’autres renseignements sur la vie du service et du pôle de psychiatrie au sein du CHG intercommunal.
Cordialement.

Dr Rossi, chef de service du secteur psy G02, responsable de la CUMP du Var
Contact: Dr Rossi Camille, 04-94-14-53-68, camille.rossi@ch-toulon.fr